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Malala YOUSAFZAI, modèle pour les femmes

Malala, Source: Reuters
Malala, Source: Reuters

Star malgré elle, Malala la petite pakistanaise mène un combat pour la dignité des jeunes filles en particulier et pour celle de l’HOMME en général.

Elle  qui voulait juste aller à l’école, s’est vue auréolée de la récompense très convoitée par les puissants de ce monde :  le Prix Nobel de la Paix. Si vous ne le saviez pas, sachez qu’elle est en la plus jeune récipiendaire.

Pourquoi, lui dédier un article ? La demoiselle  a un courage et un charisme qui m’impressionnent. Au delà du combat, la jeune fille du haut de ses 17 ans est un modèle pour de nombreuses femmes et ce n’est pas Le petit écolier qui me démentira. Il y a quelques mois de cela, il nous a servi une « belle » diatribe sur la Femme Camerounaise qui ne semble pas vouloir s’émanciper.

Voici en quelques points, les raisons qui lui valent mon total respect:

Les petits ne sont pas les plus faibles: Quand les talibans s’en sont pris à elle il y a deux ans, ils ne s’imaginaient sans doute pas  qu’ils la rendraient aussi célèbre. Loin de se sentir oppressée ou persécutée, la jeune fille s’est aguerrie. Elle déclarait peu de temps après l’attentat : « la peur […] m’a quitté; la force et le courage sont nés « . A juste titre, son histoire me fait penser à « David et Goliath »

Ne jamais baisser les bras: Vous et moi aurions certainement changé de fusil d’épaule! Qui aurait accepté d’être une cible mouvante? On dit chez moi que « il vaut mieux un lâche vivant qu’un héros mort »; Au péril de sa propre vie, elle avance et elle ne s’arrêtera pas avant d’avoir vu le sort de ceux et celles qui la soutiennent s’améliorer, de voir ceux et celles qui ont eu le courage de se rebeller avec elle et pour finir rester debout pour ceux qui l’aident à être MALALA au quotidien.

Accepter d’être un porte voix: Comme si, cet attentat l’avait dopée, elle a décidé de porter plus haut un combat qu’elle menait déjà tout bas. Elle accepte de parler pour celles et ceux qui ne peuvent le faire.

« Etre un canard » : l’eau sur les ailes du canard reste au dessus, et ne le touche pas. Il suffit qu’il les agite pour qu’elles retrouvent leur aspect initial. En d’autres termes, elle nous montre que si on veut réussir, il vaut mieux ignorer les  mauvaises ondes et les sublimer par l’amour… Je vois du Mandela et vous?

Malala, une féministe? : je crois que Le petit écolier sera TRÈS CONTENT. Malala estime que :  » une fille n’est pas supposée être une esclave […]  elle n’est pas seulement une mère, une sœur ou une épouse ». Que vous le preniez au 1er ou au 2nd degré, cette citation est LOURDE de sens.  Si vous me vibrez  et puis quoi? La femme n’est plus celle qui reste à la maison pour « surveiller les casseroles » et pondre les enfants.  Je sais, c’est une façon bien péjorative de peindre les choses mais pour d’hommes, les femmes sont encore ces objets de décoration. Au Pakistan c’est grave; on aime à se plaindre en Afrique, mais je pense que sous leurs cieux, être une femme, ce n’est pas être un être humain avec des droits.

17ans et fermement engagée: Mon frère et ami Thierry Bokally, lors d’un échange sur la question que Malala « est une adolescente qui  a accepté de porter la douleur de ces milliers de filles réduites à la plus simple expression d’esclave par des pratiques d’un autre âge ».  Il faut savoir que son sacerdoce date de bien avant  l’attentat en 2012. De quoi vraiment forcer le respect!

Leader qui maîtrise son sujet et l’espace: Quand je la regarde, je ne cesse que de me demander comment elle fait? Elle a de la prestance, parle avec force et conviction sans jamais trembler. L’on devine aisément qu’elle est surement encadrée et qu’elle doit faire l’objet de « légères » pressions de la part de ses proches. Mais rien ne transparaît. Malgré les menaces de mort, elle rassure et assure…

Voilà ce que je retiens de MALALA, une source d’inspiration pour moi et j’espère aussi pour vous!


Tu parles français, Ze parle toubab

Source: https://www.leplaisirdapprendre.com/
Source: https://www.leplaisirdapprendre.com/

Le Français   est une langue indo-européenne de la famille des langues romanes. Le français s’est formé en France (variété de la « langue d’oïl ») et est aujourd’hui parlé sur tous les continents par environ 220 millions de personnes dont 115 millions de locuteurs natifs, auxquels s’ajoutent 72 millions de locuteurs partiels (évaluation Organisation internationale de la francophonie : 2010). Elle est une des six langues officielles et une des deux langues de travail (avec l’anglais) de l’Organisation des Nations Unies, et langue officielle ou de travail de plusieurs organisations internationales ou régionales, dont l’Union Européenne. Source Wikipédia

Dans le Monde, le français pointe à la 5ème place et en Afrique il est sans doute la 1ère langue (enfin je crois).

Vous vous demandez surement où je veux en venir, je suis arrivée au Sénégal ça fait 10 ans. Et, à ma grande satisfaction, après avoir échangé les civilités d’usage, j’ai appris que la Niak que je suis à un fort accent! Un accent dites vous? Oui! un accent. Hum! Déjà, pour vous dire la vérité, j’ai été TRES choquée. Au Cameroun, ma chère Patrie, mes compatriotes avaient de la peine à me géocaliser à cause d’un français aux intonations épurées et voilà que dans le Pays de la Téranga je me fais verbaliser pour une histoire d’accent. Comme je suis une femme Stoïque, j’ai accusé le coup. J’ai moi avalé mon macabo car vraiment, si l’autre ci n’est pas chercher les poux sur une tête de chauve, je ne vois pas ce que c’est. Je disais donc que j’ai avalé mon macabo car je les attendais au tournant.

Le Sénégalais, ancien citoyen « Français » se vante de parler un français limpide, correct, impeccable, que dis-je académique! Na so* Plus pédant, tu meurs. Les gens là aiment entendre que Molière était leur frère. Le temps passe et je me rends compte que « leur » français n’est pas si nickel que ça! Ou c’est parce que Léopold Sédar Senghor était un Immortel qu’il l’a été pour tous les Sénégalais, ou c’est le français qu’il maîtrisait qui leur a été inoculé à la naissance; je ne saurai vous dire ce qui justifie tant de prétention…

Voici un citoyen du monde supposé francophone et francophile, dont la langue officielle est le Français. La réalité est tout autre. Au Sénégal, la langue officielle est le Français Wolof.

Tu viens d’arriver, tu n’as même pas 1 semaine? « Tu ne parles pas encore Wolof »; « Il faut parler dèh, tu es au Sénégal » hum!

Tu entres dans le taxi si tu ne connais pas les us et coutumes dans la négociation de taxi c’est ton problème.

Tu vas au marché, si là-bas tu ne connais pas les usages en matière de négociation de prix, c’est encore ton problème. Chut! le Français est la langue officielle.

Au Cameroun, on aime souvent se moquer de l’Ivoirien qui omet les articles dans ses phrases, mais croyez- moi ce n’est rien à côté du Français Sénégalais.

Je m’en vais vous faire une dictée à la façon d’un enseignant sorti fraîchement de l’école de formation.

Petite note personnelle: pour une bonne immersion, souffrez que je devienne « ingénieur de son » avec en filigrane des néologismes phonétiques.

Exemple: on écrit gens mais on lit gence ok?

Ainsi donc: prenez cahier, marquez dictée!

La vie est une bastonnade*

Ce n’est un secret pour personne, si tu veux réussir dans la vie, il faut te lever tôt. Ceusse (ceux) qui te diront le contraire t’induiront en erreur. En effet, ça est là (c’est là) le secret; se lever tôt pour travailler dur. Les gences (gens) dont cette façon de voir les choses est le eslogan (slogan) réussissent plus aisément que les autres. Ils ne sont pas espéciaux (spéciaux), ils sont juste bosseurs. Ousmane est un homme doucksse (doux), bon et bosseur qui réussit tout ce qu’il entreprend. Il ne ménage aucun effort et n’arrête jamais de travailler tant qu’il n’a pas une solution à un problème.  Il l’ (lui) arrive même de ne pas dormir pour ne pas traîner du travail en retard.  Si tu le (lui) demandes quant est ce (quand est ce que ) tu as dormi la dernière fois ? Il y a fort à parier qu’il ne sache vous (te) répondre.

Voilà pour l’aperçu. A cela, rajoutez un débit « monosyllabique »; oui, l’individu « sénégalensis » parle « comme s’il apprend à lire » dixit Elsa Raphaëlle.  Si cette façon de parler peut se justifier chez les apprentis de car rapide, comment cela se justifie t-il chez des étudiants, des « intellectuels », journalistes et autres leaders d’opinion?

Pense -bête personnel: Dans mon Pays, le Cameroun, même la mémé qui n’a jamais vu la capitale et qui n’est jamais sortie de son trou de village te parle un français CORRECT. Non mais allô quoi!

Je cherche la réponse et je vous reviens.

Na so: nest ce pas en pidgin

La vie est une bastonnade : célèbre citation de Mme Foning au Cameroun

 


Que serai je demain?

source https://urlz.fr/GpO
source https://urlz.fr/GpO

Il est 05h du matin et vas savoir pourquoi, je suis face à mon ordinateur entrain de travailler sur un dossier pour mon boss. Non, je n’ai pas de deadline courts à respecter, non je ne fais l’objet d’aucune pression et je ne suis pas sous l’emprise d’un linemanager tyranique. Non, il n’en est rien, car je suis comme ça, accro au boulot, adepte de l’anticipation.

Et puis, à  mesure que j’avance, je me sens irrémédiablement attirée par une chanson, j’ai beau  essayé de me concentrer et de faire abstraction, mais rien n’y fait… Je ferme les fenêtres word excel et autre, je ferme les yeux. Je me revois 13 ans plus tôt. Alors que ce son fait fureur sur CFI en Mai 2001, j’absorbe les paroles sans vraiment comprendre leur portée. Que serai-je demain? « Tsuip »* J’étais tellement pleine d’espoir que je n’imaginais pas que la situation de notre planète déjà chaotique (à cette époque) puisse s’empirer.

Que serai je demain?

Si je trouve que je m’en suis bien sortie, je m’interroge grandement sur le « demain » des autres.

A tout point de vue, cette chanson a plus de sens aujourd’hui. Que serai-je demain? C’est surement la question que des centaines d’êtres humains par ces temps incertains se posent.

Les mamans déplacées traînants de camps en camps, sans jamais pouvoir se poser longtemps, dévastées parce que leur mari leur a été arrachées!

Que seras-tu demain? Déjà que l’on se pose la question en temps de paix quand tout va bien, et que malgré le confort et la « normalité » de nos vies, la réponse à cette question « évidente » est souvent un mystère! Que seras-tu demain? Enfant né dans un camp! Que seras tu demain? Enfant déplacé! Tous dans le viseur de rapaces.

Que serons-nous demain? Par ces temps de catastrophes naturelles? de changements et de dérèglement climatique?

Que serai-je demain? s’il y a un lendemain….

Quand je regarde autour de moi, près ou loin de mes frontières, je ne regarde plus ma vie comme une existence individuelle et singulière et j’apprends au delà de la mienne. Je vis au jour le jour, car je réalise à présent que le « confort » de ma vie et la futilité de mes problèmes soit disant existentiels deviennent insignifiants devant la souffrance de l’autre…

Par ces temps où décapitations et guerres et maladies font ravage, si on se retrouve au moment endroit au mauvais moment…

Que serai-je demain? s’il y a un lendemain…

Vidéo à voir  absolument Que serai-je demain?

* Camerounaiserie qui désigne l’agacement.


Chez moi, c’est le Cameroun

Parce que grâce à cet article j’ai été retenu pour le Mondoblog 2014, je vous le présente! Il est le parcours d’une amie et « petite soeur »; j’espère que je n’ai pas trop romancé ton histoire.

Ce n’est écrit nulle part. Visible d’aucune façon. Il n’existe pas de signes distinctifs. Et pourtant, ils sont comme vous et moi ; mais ils ont dû renoncer à leur patrie. Oui ils ont fui pour sauver leur vie!


La première fois que j’en ai vu, j’avais 7ans. C’était en 1987, nous vivions à Poumpoum Rey, un quartier de Garoua dans la région Nord du Cameroun. Alors que le Tchad était à feu et à sang, il y avait dans l’enceinte de l’école publique un camp de réfugiés.
L’enfant que j’étais n’y comprenait rien. Tout ce que je voyais, c’était une concentration d’hommes, de femmes et d’enfants vivant dans des conditions innommables. Et puis, de toute façon, à 7 ans ça ne vous émeut pas plus que ça!
C’est bien plus tard que j’ai appris que c’était des « réfugiés ». Et qu’être réfugié n’est pas forcément vivre dans un camp ou en marge de la société d’accueil. Et oui! Un réfugié est un être humain qui a aussi des droits.
Quelques années plus tard, j’ai fait la connaissance d’Amanda*, une Sierra-Léonaise ; 20 ans, élancée ; noire ébène et outrageusement spontanée, belle à couper le souffle. Quand j’y repense, elle me faisait penser à Sylvie après sa chirurgie esthétique dans le roman « l’insolence de sa beauté » de Guy des CARS. Elle a débarqué un jour dans ma vie tout à fait par hasard. Faculté de droit à l’Université de Douala, Décembre 2001, nous étions voisines au fond de la classe et très vite, nous sommes, devenues copines.
Maintenant que j’y pense, de prime abord, personne ne pouvait l’étiqueter « réfugiée » ; par son français à l’anglo-saxonne on l’aurait placée du côté de Buea ou de Bamenda et son camfranglais* était IMPECCABLE ! Seigneur! Son pidgin* limpide même les mamans du marché à New Bell ne l’atteignaient pas! Tout ça pour dire qu’Amanda était la Camerounaise bon teint. 
C’est au détour d’une conversation que j’ai appris que son pays d’origine était la Sierra -Léone (un pays déchiré par la guerre à l’époque) et que dans l’urgence elle avait dû TOUT abandonner ; et elle s’en est arrêtée là ! Par pudeur ou par insouciance, je n’ai pas creusé.
Sept ans plus tard, nous nous retrouvons à Dakar au Sénégal et Amanda n’a pas changé d’un iota ! Elle est toujours le même boute-en -train que j’ai rencontré un jour au pays. Quand elle m’a proposé de venir chez elle, je n’ai pas HÉSITÉ. Mon étonnement du Cameroun a rejailli. Moi la camerounaise 100% je n’ai pas tout cet attirail hum ! Des chocolats, des épices, des bonbons alcoolisés, sans compter sa collection impressionnante de kabas* pour ne parler que de cela. Nostalgiques toutes les deux, nous avons ri tout en parlant de notre pays. Je n’oublierai jamais cette lueur dans ses yeux ; c’était celle d’un enfant en manque de son pays natal. Je n’ai pas cessé de la contempler ce jour-là, admirative et émerveillée. Amanda représente le modèle d’intégration que certains politiques rêvent de voir. . N’allez pas croire qu’elle a totalement gommé ses origines ; le drapeau Sierra- Léonais trône fièrement sur sa table comme pour n e pas « oublier ».Mais Le Cameroun n’est jamais bien loin ! Elle peut en parler des heures durant !
Pour anecdote, elle m’a fait le récit de ses aventures à Bondjock, un village Bassa dans le département du Nyong et Kellé. « Ma grand-mère (adoptive) était une femme brave, malgré ses béquilles, elle était d’un dynamisme à vous donner des complexes. Un jour, elle m’a commissionnée à la boutique et a craché par terre en me sommant de rentrer avant que ces crachats ne s’évaporent ». Elle sourit, la larme à l’œil ! « Ses gâteaux de maïs me manquent tant! » finit-elle par lâcher.
N’en pouvant plus, j’ai fini par lui demander pourquoi cet attachement viscéral. Voici ce qu’elle m’a répondu : « Au delà de m’offrir l’ « hospitalité » et un nouveau départ, le Cameroun m’a redonné une estime de moi que j’avais perdue là-bas. Jamais je n’ai été considérée comme une attraction de foire ; mais plutôt comme un être humain avec une histoire qu’elle refuse de mettre en avant. Oui ! Vois-tu, tout le monde a respecté ce pan de ma vie que je n’aime pas revivre. J’ai été reçue comme une fille, une sœur, une amie qu’on n’a pas revue après de nombreuses années. J’ai été accueillie parce que je suis MOI, tout simplement. Tu vois Armelle, peu importe d’où tu viens, peu importe ton histoire, chez toi c’est où tu as décidé de t’établir, là où tu te sens chez toi et en sécurité.

C’est simple : Chez moi, c’est le Cameroun ! »

* Le prénom original a été changé pour le respect de la vie privée de mon amie; merci de votre compréhension


Tu seras bienvenue chez moi

Il y a quelques jours encore, je scrutais mon mail tel un enfant attendant ses parents après une journée passée à l’école.

Et puis la nouvelle est tombée:

mondoblog

Je puis vous assurer que jeudi dernier je suis passée par tous les états de la matière je me demande encore comment j’ai fait pour ne pas crier au monde ma joie. Ça doit être l’âge enfin, je crois. Mondoblog, je ne cesse de répéter ce mot des heures durant; « et ça continue encore et encore, c’est que le début d’accord, d’accord »  pour qu’en fin de journée, je réalise que oui, c’est bien MOI et MOI seule à qui ce mail s’adresse. Et je repense à tous ceux et celles qui m’ont soutenu et qui y ont cru. Lefedaro m’avait dit que « ce n’est qu’une formalité », je ne sais pas si c’était aussi évident pour les recruteurs mais quoiqu’il en soit: MERCI, MERCI, MERCI.

Vous m’avez déjà surement croisée sous d’autres cieux, et vous vous demandez ce que je viens chercher ici. Dans mon amélioration continue, c’était une évidence, intégrer une plateforme dynamique et pro. Il faut dire que j’ai pour modèles les meilleurs appréciation totalement subjective, mais si j’ai décidé de me lancer, c’est parce qu’ils ont balisé le chemin. Ce sont Dani et Téclaire, deux amis, deux blogueurs/ mondoblogueurs, deux plumes et deux styles qui je trouve à plusieurs égards m’ont donné l’envie de faire comme eux. C’est aussi Elieko et Tchoupinov qui m’ont déléguée pour les « REPRÉSENTER », ce sont deux amis également blogueurs  qui ont préféré me mettre au choc et que je suis fière de représenter ici ;).

Ainsi Intheeyesofleyopar version Mondoblog, sera la voix des sans voix, sans prétention aucune, pour reprendre les désirata de Elieko et Tchoupinov, je « représenterai » ceux qui qui n’ont pas de tribune, ceux qui passent inaperçus et/ou  que l’on méprise parce qu’ils « ne sont pas du groupe », ou parce qu’ils ne sont classables dans une société où le politiquement correct a fini d’enterrer la réalité VRAIE, une société qui à défaut de se soigner, préfère sauver les apparences et peindre un monde qui n’existe dans que l’utopie et dans les méandres de la réalités selon eux.

J’espère que vous aimerez, Peace

PS:

Merci à vous amis blogueurs cette aventure c’est aussi la votre.